L’amour, je n’en plus crois,
Disait t-il,
En croissant son manteau.
Il faisait froid dehors
Comme les verses du poème.
Il ajoutait :
« Elle arrachait mon cœur,
Et le mettait au rebut, moribond.
Que reste t-il de notre amour maintenant ?
La froideur du cœur perdu
Dans la rue de la mort,
Le souvenir de l’été de saint Martin
Quand il fait froid dehors »
L’amour, je n’en plus crois,
En allumant une autre cigarette, il se répétait :
« S’elle se trouvait cote-moi
Elle me dirait non plus.
Non plus, cela me disait
Il y a un an à peine,
Ces quatre jours de bonheur
Quand je l’ai chanté au oreille
Ne me quitte pas,
Ne me quitte pas ! »
L’amour, je n’en plus crois
L’amour c’est pour l’éternité
La passion, clairon de mort
Tel que la pluie cette nuit
Et la froideur du cœur.
01 Juillet 2003
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