Songe Faust, songe
Rien ne me plaît plus que tes rêves.
Accorde-moi, Faust
Puis je ne t’ai jamais abandonné
Dans la solitude de tes livres
Je t’ai donné l’espoir
De jeunesse bien vécue
De fastes du passé.
Regarde-moi, Faust
Je suis Méphistophélès, ton frère
Toi-même dédoublé
-le philosophe et le mage
L’angoisse finalement étoffée
Qu’en rêvant la sagesse
S’informe que Dieu est sage
En le ressentant et n’en pensant.
Lève-toi, Faust
Que le songe s’est fini
Dit-moi alors : Quoi de meilleur,
La vie ou le songe ?
Tu le sais bientôt
Le monde n’est qu’un bal masqué
De rêves de jeunesse
De fastes du passé.
Suscribirse a:
Enviar comentarios (Atom)
No hay comentarios:
Publicar un comentario